J'aime bien faire des expériences
publication : 26 septembre 2016
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Je veux faire progresser la médecine
Quel bonheur pour un physicien d'inventer un appareil qui va détecter les maladies à l'intérieur du corps (IRM, scanner...) ou permettre d'observer les étoiles et les planètes. Quelle satisfaction pour un chercheur (pharmacien industriel, biologiste, généticien) de trouver le détail qui va révolutionner la lutte contre le cancer.
Depuis l'isolement de la molécule jusqu'aux essais sur l'homme, le travail de recherche est en effet une longue aventure, semée de doutes et d'échecs, qui mobilise la créativité, le dynamisme et la rigueur de chacun.
Car la recherche est avant tout un travail d'équipe mêlant des compétences (biologiste, biochimiste, physiologiste, etc.) et des profils (chercheurs et techniciens) différents.
Pour quels profils ?
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Pour quels métiers ?
Je veux créer des produits innovants
Peinture aimantée, lessive plus efficace et moins toxique, Botox® qui gomme les rides... l'imagination des hommes n'a aucune limite lorsqu'il s'agit d'améliorer notre quotidien. Tous les produits sont concernés (cosmétique, produits ménagers, voitures, bateaux, avions, outils, etc.).
À l'origine de ces nouvelles inventions, il y a les ingénieurs, des scientifiques de haut niveau capables, selon leur spécialisation, d'inventer un produit nouveau, de réaliser un prototype, de mener les premiers essais, puis de produire en série.
À chaque étape, de la conception à la commercialisation des produits, des techniciens secondent les ingénieurs.
Pour quels profils ?
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Pour quels métiers ?
Je veux inventer les aliments du futur
Avec la tendance de la nourriture "bio", les chercheurs tentent chaque jour de faire cohabiter qualité de ce que nous mangeons et sécurité alimentaire. Toute une gamme de métiers peut vous permettre de satisfaire votre soif d'expérience.
Ici, les ingénieurs agronomes essaient de fabriquer une nouvelle variété de pomme de terre ou de tomate (l'orange ou le raisin sans pépins, c'est eux !).
Là, les chimistes cherchent à mettre au point des conservateurs moins nocifs et qui empêchent la multiplication des microbes pour la fabrication des plats préparés et des conserves.
Lorsque vous goûtez un bonbon au goût de fraise ou un yaourt aromatisé à la vanille, c'est l'oeuvre des aromaticiens.
D'autres, à la fois chimistes et cuisiniers, expérimentent la "cuisine moléculaire" en créant des glaces à l'azote ou des cannellonis aux fraises, tandis que certains surfent sur la vague des alicaments (aliments qui soignent : yaourts anti-cholestérol, laits enrichis en vitamines, etc.).
Dans tous les cas, mettre sur le marché des produits de bonne qualité pour mieux se nourrir ne se fait pas sans le concours des agriculteurs et des chimistes qui imaginent des pesticides et des engrais écologiques.
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