Auray

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Auray
Auray
L'hôtel de ville.
Blason de Auray
Blason
Auray
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique
(siège)
Maire
Mandat
Claire Masson (DVG)
2020-2026
Code postal 56400
Code commune 56007
Démographie
Gentilé Alréen, Alréenne
Population
municipale
13 945 hab. (2018 en augmentation de 7,72 % par rapport à 2013)
Densité 2 018 hab./km2
Population
agglomération
23 266 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 07″ nord, 2° 58′ 53″ ouest
Altitude 37 m
Min. 0 m
Max. 43 m
Superficie 6,91 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Auray
(ville-centre)
Aire d'attraction Auray
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton d'Auray
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.auray.fr

Auray [oʁɛ][1] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

En 2018, avec 13 945 habitants[Note 1], elle est la 7e commune la plus peuplée du Morbihan et la 25e de Bretagne[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

La ville est encadrée par les communes de Crac'h au sud et à l'ouest, Brech au nord et Pluneret à l'est. Elle est traversée par un petit fleuve côtier, la rivière d'Auray, qui débouche dans le golfe du Morbihan. La ville haute est sur la rive ouest de la rivière, sur le bord du plateau armoricain, profondément entaillé par la rivière. Le port de Saint-Goustan est au fond de la vallée, à l'est de la rivière. Auray fait partie du Parc naturel régional du golfe du Morbihan.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Auray, l'hôtel de ville et le marché du lundi matin.
Communes limitrophes d’Auray
Crach Brech Brech
Crach Auray Pluneret
Crach Crach Pluneret

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Auray est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Auray, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 25 986 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auray, dont elle est la commune-centre[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[11]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (74,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,7 %), prairies (9 %), terres arables (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), eaux maritimes (2,8 %), zones humides côtières (0,1 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Auray semble provenir du latin Aula Régia (cour royale). Cela semble être confirmé par le toponyme en breton An Alre[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Auray a été classée par le Ministère de la Culture ville d'art et d'histoire jusqu'au printemps 2006.

Auray est un nom de lieu, ayant pour origine un nom breton de personne, mentionné pour la première fois en 1069, Alrae, puis en 1168 Alrai, en breton Alré[17][source insuffisante].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La seigneurie d'Auray relevait de Guingamp avant de passer en 1034 dans la maison des ducs. En 1168, Auray est pris par le roi d'Angleterre Henri II.

L'emplacement primitif d'Auray et de son ancien château est un promontoire situé au bord d'un plateau dominant le fond d'une ria avec un port et un gué sur une rivière côtière.

Auray a donné naissance à deux bourgs situés de chaque côté du château:

Après une motte castrale avec donjon attestés au XIe siècle, le château d'Auray est reconstruit à partir de 1201[19] pour Arthur Ier. Il a ensuite été le lieu de séjour de plusieurs ducs de Bretagne.

Sous le règne du duc Jean le Roux, la Chambre des comptes de Bretagne y a siégé en 1286 et 1287, avant de retourner à Muzillac. En 1289, son fils Jean II y assembla son Parlement.

Le duc François Ier y épouse Isabeau d’Écosse le . Tombant en ruine, sa démolition est décidée, ses pierres vendues en 1559 et transportées pour reconstruire le fort de Palais à Belle-Île.

En 1341 Charles de Blois, candidat légitime à la couronne de Bretagne, en prit possession jusqu'à sa mort le à la Bataille d'Auray qui mit fin à la guerre de succession de Bretagne.

On trouve trace d'une foire dès 1434 : le duc crée celle de la Sainte-Élisabeth (le 19 novembre), place du Saint-Esprit, pour financer la commanderie du Saint-Esprit (l'hôpital des pauvres). La châtellenie d'Auray était le chef-lieu du pays de Lanvaux qui était une des neuf grandes baronnies siégeant aux États de Bretagne, jusqu'à ce qu'elle soit réunie au domaine ducal et qu'elle soit remplacée en 1451 celle de Quintin.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1626 est fondé un couvent de Capucins, en 1632 un couvent de Clarisses est construit.

En 1632, le Commandeur Isaac de Razilly accompagné de Nicolas Denys, Charles de Menou de Charnizay, trois Capucins, cinq Jésuites et 300 Hommes d'Elite partent du Port d'Auray pour rétablir la ville de Port-Royal en Acadie sous les ordres du Cardinal de Richelieu, deux autres vaisseaux les accompagnent.

Benjamin Franklin débarque au port de Saint-Goustan le au début de la guerre d'indépendance des États-Unis pour demander l'aide militaire de la France à Louis XVI.

Révolution française[modifier | modifier le code]

Halles d'Auray, gravure de Thomas Drake, vers 1850.

En 1789, au moment de la Révolution française, Auray était un siège royal établi en 1565 d'où relevaient plusieurs juridictions particulières, avec un commandant de place, une brigade de maréchaussée, un sous-commissaire de marine, une sénéchaussée qui relevait du présidial de Vannes. La ville avait le droit de députer aux États de Bretagne, elle était le siège d'un subdélégué, d'un bureau des cinq grosses fermes, elle possédait un collège, un hôtel-Dieu (hôpital de soins) et un hôpital général (hospice pour les pauvres).

Auray devient chef-lieu d'un district de 1790 à 1795.

Cadoudal, le chef de la rébellion bretonne contre la terreur jacobine, est né à Auray.

En 1795, après l'échec de l'expédition de Quiberon et la reddition des Émigrés commandés par Sombreuil le 21 juillet, la plupart des prisonniers sont transférés à Auray. Après un jugement sommaire par des commissions militaires où siègent des citoyens de la ville, 750[20] sont fusillés dans un pré en Brech sur la rive ouest du Loch, appelé depuis le Champ des martyrs, et inhumés sur place. En 1829, leurs ossements sont exhumés et déposés dans le caveau d'une chapelle mémorial à la Chartreuse d'Auray.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

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Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts d'Auray porte les noms de 226 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[21].

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

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La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

La gare d'Auray a été pendant la Seconde Guerre mondiale le lieu de transit du béton qui servit à construire sur les côtes de la région de nombreux blockhaus du Mur de l'Atlantique. Après-guerre, la collecte des déchets militaires amène la création d'une entreprise sur le lieu-dit Pi-park.

Le monument aux morts d'Auray porte les noms de 45 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale[21] ; parmi elles, Jean Marca et Henri Conan, deux cheminots détenteurs de tracts communistes, furent arrêtés le à Auray et fusillés le à Vannes[22].

L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Sept soldats (Hubert Cabannes, Léopold Hulot, Yves Le Barh, Michel Le Vigouroux, Mathurin Lemabic, Louis Rénier, Gaston Sabot) originaires d'Auray sont morts pendant la Guerre d'Indochine et six (Georges Brochen, Raymond Goasmat, Gilbert Jégo, Jean Le Port, Jean Le Thiesse, Georges Tabou) pendant la Guerre d'Algérie ; René Le Leuch est mort sur un théâtre d'opérations extérieur[21].

Le XXIe siècle[modifier | modifier le code]

L'épidémie de coronavirus de 2020[modifier | modifier le code]

Le 1er mars 2020, Auray et les communes voisines sont un des premiers foyers de l'épidémie de coronavirus, avec 4 personnes testées positives à Auray, 4 à Crach et 2 à Carnac[23], à la suite d'un premier cas détecté le 29 février au Centre hospitalier voisin de Vannes (Morbihan)[24] possiblement contaminé par un "patient déjà sur le territoire breton" selon Stéphane Mulliez, directeur de l'ARS[25]. Le lendemain c'est 12 cas dans le Morbihan: 5 à Crach, 2 à Auray, 3 à Carnac et un à Saint-Philibert[26]. La Bretagne en compte aussi 4 à Rennes, un couple revenu de l'Oise et un autre de Venise et 3 à Brest, dont 2 retraités hospitalisés fin février[26]. Le 7 mars, c'est 35 cas sur 7 communes autour d'Auray, 10 de plus en jour, dont 2 à Sainte-Anne-d'Auray[27] et le 12 mars 106 cas, dont 53 sont revenus chez eux sans troubles, 29 hospitalisés et 3 décédés[28]. Entre-temps, 13 communes du Morbihan appliquent des mesures de restriction depuis le 6 mars, avec 9 000 élèves confinés[29].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason d'Auray ancien

Blason ancien d'Auray : Losangé d’or et d’azur.

Blason d'Auray moderne

Blason moderne d'Auray : De gueules à une hermine passante au naturel et son écharpe flottante d’hermine, au chef cousu d’azur chargé de trois fleurs de lis d’or.

[modifier | modifier le code]

Logo d'Auray depuis octobre 2017

Logo d'Auray, depuis octobre 2017.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1964 1969 Pierre Dugor DVD Horloger-bijoutier - conseiller général (1964-1970)
1970 mars 1977 Marcel Le Gélébart DVD  
mars 1977 juin 1995 Michel Naël DVD Conseiller général (1994-2008)
juin 1995 juin 2012 Michel Le Scouarnec PCF Professeur des écoles - sénateur du Morbihan (2011-2017)
juin 2012 mars 2014 Guy Roussel DVG Dessinateur projeteur
mars 2014 août 2018[30] Jean Dumoulin UDI Chef d'entreprise
septembre 2018 3 juillet 2020 Joseph Rochelle DVD  
3 juillet 2020[31] En cours Claire Masson DVG Professeure

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[32].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[33],[Note 4]

En 2018, la commune comptait 13 945 habitants[Note 5], en augmentation de 7,72 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +2,36 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 6002 8053 3823 3963 7343 8953 8154 0183 882
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9493 9674 5424 8944 6335 8706 3926 2366 466
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6 4856 6657 1226 9497 1547 1817 0888 6428 159
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8 1188 44910 2569 89210 32310 91112 42012 53613 667
2018 - - - - - - - -
13 945--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture bretonne[modifier | modifier le code]

Activités culturelles[modifier | modifier le code]

Le bagad de la Kevrenn Alré évolue en première catégorie du championnat national des bagadoù.

La ville héberge depuis 1951 la Kevrenn Alré dont le bagad et le cercle celtique ont chacun remporté leurs championnats respectifs à de multiples reprises.

Langue bretonne[modifier | modifier le code]

Historiquement, Auray est en pays bretonnant (dialecte de Vannes) mais les citadins parlent généralement français depuis le XVIIIe siècle. On a prêché en breton dans les paroisses d'Auray jusqu'aux années 1930.

À la rentrée 2018, 136 élèves étaient scolarisés à l’école Diwan et dans les filières bilingues catholiques (soit 8,7 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[36].

L'école Diwan An Alre scolarise 69 élèves à la rentrée 2018.

L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le 15 septembre 2015.

Transports[modifier | modifier le code]

Port[modifier | modifier le code]

Le Port Saint-Goustan est à l'origine de la ville. Il est situé sur la rivière d'Auray, au point le plus en amont que peuvent atteindre les navires de mer avec l'aide de la marée. Il reçoit des navires de haute mer jusqu'au XIXe siècle. C'est aussi un port de cabotage très actif en direction de l'Espagne et de la Grande-Bretagne. Son déclin comme port de commerce commence avec l'arrivée du chemin de fer en 1862. Aujourd'hui, c'est un port de plaisance et une escale du circuit touristique du tour du golfe du Morbihan.

Routes[modifier | modifier le code]

Saint-Goustan en bas de la ville est le premier site possible d'un pont sur une route longeant le littoral entre Vannes et Quimper. En aval, la rivière d'Auray est large et escarpée[37]. En amont, les marais de la vallée du Loch rendent difficile le passage avant Tréauray à 4 km au nord. La voie romaine de l'Océan, de Lyon à Gésocribate (Le Conquet) par Nantes, y passe. Au milieu du XIXe siècle, la construction d'une nouvelle route en remblai sur le marais du Loch permet d'accéder directement à la ville haute depuis Vannes. Dans les années 1950, la route nationale Vannes - Lorient contourne le centre d'Auray par le nord. En 1989, la construction du viaduc de Kerplouz[38] sur la RN 165 en 4 voies au-dessus de la rivière d'Auray en aval de Saint-Goustan débarrasse l'agglomération du trafic de transit, et suscite une zone industrielle au sud du centre-ville.

Chemin de fer[modifier | modifier le code]

La gare d'Auray est située à plus de deux kilomètres au nord du centre-ville à cause de la topographie difficile. Elle est desservie quotidiennement.

Le chemin de fer arrive à Auray en 1862, avec l'ouverture par la Compagnie du PO de la ligne de Nantes à Lorient via Savenay, concomitante avec celle de la ligne de Rennes à Redon de la Compagnie de l'Ouest[39]. La ligne est prolongée jusqu'à Quimper dès 1863. L'embranchement vers Quiberon est inauguré le [40].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

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Enseignement[44][modifier | modifier le code]

Écoles publiques[modifier | modifier le code]

  • Le Loch.
  • Joseph-Rollo.
  • Éric-Tabarly.
  • Saint-Goustan (maternelle uniquement).

Écoles privées[modifier | modifier le code]

  • Sainte-Thérèse.
  • Gabriel-Deshayes.
  • Diwan (enseignement en langue bretonne).

Enseignement secondaire public[modifier | modifier le code]

  • Collège Le Verger.
  • Lycée Benjamin-Franklin.

Enseignement secondaire privé[modifier | modifier le code]

  • Lycée d'enseignement professionnel Saint-Louis.
  • Lycée agricole et horticole Kerplouz LaSalle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2018, légale en 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Prononciation en français standardisé de France retranscrite selon la norme API.
  2. « Populations 2021 : quel est le rang de votre commune dans le top/flop breton ? », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 31 mars 2021).
  4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 31 mars 2021).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 31 mars 2021).
  6. « Unité urbaine 2020 d'Auray », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 31 mars 2021).
  7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le 31 mars 2021).
  8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le 31 mars 2021).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auray », sur insee.fr (consulté le 31 mars 2021).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 31 mars 2021).
  11. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le 31 mars 2021).
  12. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le 31 mars 2021).
  13. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le 31 mars 2021).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statitiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 3 mai 2021)
  15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 3 mai 2021). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  16. Gregoire de Rostrenen, Dictionnaire francois-celtique ou francoisbreton (etc.), Julien Vatar, (lire en ligne).
  17. Albert Dauzat
  18. La terre, où le prieuré a été construite, aurait été donnée à l'abbaye de Rhuys en mai 1189 par Constance, duchesse de Bretagne, mère d'Arthur Ier.
  19. « Château », notice no IA00008579, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  20. Les chiffres varient grandement selon les sources, de 370 à 1000, selon que l'on invoque le nombre total de condamnés ou les exécutions à Brech; les chefs, dont Sombreuil, ont été fusillés à Vannes
  21. a b et c http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?act=view&insee=56007&pays=France&dpt=56&idsource=55526&table=bp&lettre=&fusxx=&debut=0
  22. Éric Rondel, Crimes nazis en Bretagne : 1941-1944, Sables-d'Or-les-Pins, Éd. Ouest & compagnie, , 255 p. (ISBN 978-2-36428-032-8).
  23. Communiqué de l'ARS: Coronavirus : un premier foyer identifié dans le Morbihan
  24. Ouest-France, 3 mars 2020 [1]
  25. Camille Allain, le 02/03/20 dans 20 Minutes [2]
  26. a et b France-Bleu 2 mars 2020 [3]
  27. "Coronavirus : Sainte-Anne-d’Auray intègre le « cluster » formé autour d’Auray" Le Télégramme du 7 mars
  28. France Télévisions le 12/03/2020 [4]
  29. "Coronavirus : où sont les principaux foyers épidémiques ?" le Vendredi 6 mars 2020 dans France Bleu [5]
  30. « Conseil. Joseph Rochelle élu maire », sur Le Télégramme, (consulté le 31 octobre 2018).
  31. « Le nouveau conseil municipal », sur auray.fr, (consulté le 3 juillet 2020).
  32. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Auray, consultée le 27 octobre 2017
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
  36. http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
  37. La mention d'un « pont de César » sur la Rivière d'Auray, à la hauteur de Plessis-Kaer, est souvent invoquée, mais il s'agit probablement d'une légende ; il n'y a pas trace de chemins d'accès. Marteville et Varin (1843)
  38. Structurae, BDD des travaux publics
  39. Rail-Bretagne, ligne Rennes - Quimper
  40. Jean-Pierre Nennig, « 12 Auray - Quiberon », Le chemin de fer de Bretagne sud, JPN, 2008, p. 169-176.
  41. « Hôtel de ville », notice no PA00090995, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Chapelle d'Hospitaliers du Saint-Esprit », notice no PA00090991, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Petit théâtre », notice no PA56000076, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « site internet de la ville d'Auray », sur Auray.fr (consulté le 11 mars 2016).
  45. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération|https://www.ordredelaliberation.fr/fr/les-compagnons/883/albert-savary]
  46. Fiche de Ronan Badel, site ricochet-jeunes.org.
  47. «  Ronan Badel, illustrateur et auteur passionné », article du journal Ouest-France du 16 avril 2013.
  48. Une coprésidence pour Auray Football Club sur le site d'Auray

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Samuel Le Goff, Chroniques du pays d'Auray : la communauté de ville d'Auray au 18e siècle, Auray, Société d'histoire et d'archéologie du pays d'Auray, 2001 (ISBN 2-9504033-2-8).

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