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Ludwig van Beethoven

Ludwig van Beethoven est un compositeur allemand né à Bonn le 16 ou le 17 décembre 1770 et mort à Vienne le 26 mars 1827.

Dernier grand représentant du classicisme viennois (après Gluck, Haydn et Mozart), Beethoven a préparé l’évolution vers le romantisme en musique et influencé la musique occidentale pendant une grande partie du XIX^e siècle. Inclassable (« Vous me faites l’impression d’un homme qui a plusieurs têtes, plusieurs cœurs, plusieurs âmes » lui dit Haydn vers 1793), son art s’est exprimé au travers différents genres musicaux, et bien que sa musique symphonique soit la principale source de sa popularité universelle, il a eu un impact également considérable dans l’écriture pianistique et dans la musique de chambre.

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Présentation
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« Ce sourd entendait l'infini… » — Victor Hugo Bienvenue sur le Portail Ludwig van Beethoven. Ce Portail est en coordination avec les Portails Musique classique et Franz Liszt. Vous pouvez le visiter et en apprendre plus sur le compositeur et ses œuvres. Pour contribuer, il vous suffit de regarder dans le Projet et d’enrichir ou de créer un article. Si vous constatez qu'un article à créer ou à améliorer manque à l'appel, n'hésitez pas à le rajouter. Vous pouvez également visiter le Projet et la Page de discussion. ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ♫ ♫ ♫ ♫ 183 articles sont actuellement liés au portail ♫ ♫ ♫ ♫ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

Lumière sur…
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König Stephan op. 117 (Le Roi Étienne en français), est une œuvre de circonstance composée par Ludwig van Beethoven en 1811. Elle comprend une ouverture en mi majeur et neuf parties chantées. Seule l'ouverture reste jouée aujourd'hui, et assez rarement. Le titre fait référence au roi Étienne I^er, fondateur du royaume de Hongrie en l'an 1000. L'empereur François Ier d'Autriche, pour apaiser les sentiments nationalistes naissants en Hongrie, avait fait construire dès 1808 un grand théâtre à Pest, en Hongrie, pour célébrer la fidélité de la Hongrie à la monarchie autrichienne. À l'occasion de l'inauguration de ce théâtre en 1811, Beethoven fut appelé à mettre en musique deux textes de circonstance écrits par August von Kotzebue : Le Roi Étienne et Les Ruines d'Athènes. Ces ouvertures font partie des œuvres orchestrales les moins jouées du compositeur. Ouverture Chœur d'hommes : Ruhend von seinen Thaten Chœur d'hommes : Auf dunkelm in finstern Hainen Wandelten Marche : Siegesmarsch Chœur de femmes : Wo die Unschuld Blumen streute Mélodrame : Du hast dein Vaterland Chœur : Eine neue strahlende Sonne Mélodrame : Ihr edlen Ungarn ! Marche et mélodrame avec chœur : Heil unserm Konige! Chœur final : Heil! Heil unserm Enkeln ! Une autre Lumière sur…

Le saviez vous ?
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Romain Rolland est l’un des plus importants biographes de Beethoven avec Les Fêtes de Beethoven à Mayence (1901), Vie de Beethoven (1903) et Goethe et Beethoven (1930). Une partie du manuscrit de la Grande Fugue, redécouverte à Philadelphie aux États-Unis en juillet 2005, fut vendue à Londres pour 1,13 millions de livres. Les Quatre Barbus firent une parodie de la Cinquième symphonie dans La pince à linge (1997). Beethoven n’hésita pas à déclarer « Voici la Vérité ! » en montrant l′édition complète de ses œuvres de Georg Friedrich Haendel, l’un de ses compositeurs favoris, qu’il venait de recevoir. À la découverte de Franz Schubert quelques mois avant de mourir, le compositeur aurait déclaré : « Il y a une étincelle divine chez ce Schubert ». Johann Nepomuk Mælzel, inventeur du métronome fut un proche ami du musicien. Ce dernier lui écrivit un canon humoristique imitant le rythme de l'appareil : Ta ta ta, lieber Mälzel (WoO 162).

Image du mois
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Portrait de Beethoven en mai 1824 (année de l’achèvement de la Neuvième Symphonie) par Johan Stephan Decker (1784 - 1844).